Mois : novembre 2022

Coupe du monde. Présentation des milieux serbes

Deuxième volet de présentation des 26 serbes sélectionnés pour la Coupe du monde 2022. Place maintenant aux milieux de terrain, qui ne manquent pas de qualités. Sergej Milinkovic-Savic Son parcours : Formé à Vojvodina Novi Sad, il s'envole rapidement au KRC Genk. Après seulement une saison en Belgique, il rejoint la Lazio en Serie A. Là-bas, il se révèle réellement aux yeux de la planète football et devient le top joueur qu'on connait aujourd'hui. Son rôle en sélection : S'il lui a fallu du temps pour atteindre son niveau affiché à la Lazio avec la Serbie, il est maintenant incontournable. Il dicte le

Coupe du monde. Présentation des attaquants serbes

Premier volet de présentation des 26 Serbes sélectionnés pour la Coupe du monde 2022. Voici les attaquants, principale arme de l'équipe. Dusan Tadic Son parcours : Formé à Vojvodina Novi Sad, il montre dès ses débuts en professionnels de grandes qualités. Groningen le repère et le fait signer en 2010 contre 1,1 million d'euros. Il s'acclimate très bien à l'Eredivie, puisqu'à Groningen et Twente, qu'il rejoint en 2012, il marque au total 46 buts et distribue 68 passes décisives en 181 matchs TCC pour les deux clubs. Ces prestations très prometteuses l'emmènent en 2014 en Premier League, Southampton le recrute pour 14

Coupe du monde : la drôle d’histoire de la Serbie

Jamais l'attente autour d'une Coupe du monde n'aura été aussi forte en Serbie. Les hommes de Dragan Stojkovic nourrissent l'ambition de briller au Qatar cet hiver et de chasser leurs vieux démons. Depuis 2006, et trois participations au Mondial, jamais la sélection n'est parvenue à passer la phase de groupes. Entre scénarios fous et querelles internes, l'histoire des aigles blancs a de quoi faire sourire les uns et pleurer les autres. Avant la Serbie, la Yougoslavie La Yougoslavie a réalisé de beaux parcours en Coupe du monde, La "Plavi" s'étant hissée par deux fois en demi-finale . D'abord, lors du Mondial

Coupe du monde. Et “Piksi” ressuscita la Serbie

"Si j'étais le sélectionneur de la Serbie, je nous emmènerais au Qatar". Cette déclaration de Dragan Stojkovic, après la débâcle en barrages pour l'Euro 2020 face à l'Ecosse (défaite aux T.A.B, NDLR), paraît fort de café. Il n'empêche que "Piksi" a vu juste : la Serbie fait partie des 32 nations à disputer la Coupe du monde 2022. Et ce, en terminant premier de sa poule de qualifications. Avant de prendre en main la Serbie, Dragan Stojkovic a eu une modeste carrière d'entraîneur en Asie. Il commence par prendre en main le club japonais de Nayoga Grampus, où il a achevé

Coupe du monde. L’idole Dragan Stojkovic

26 juin 1990, dans la chaleur étouffante du Stade Marcantonio-Bentegodi de Vérone, le numéro 10 Yougoslave se révèle aux yeux du monde entier. Si une riche carrière lui est promise, tant son talent était évident pour tous, son parcours, loin d'être raté, ne sera pas à la hauteur des attentes. Récit d'un joueur atypique, Messie en son pays. Une éclosion à Nis Dragan voit le jour le 3 mars 1965 à Nis, en Yougoslavie à l'époque, et en Serbie aujourd'hui. Il prend à l'école le surnom de "Piksi", en référence au dessin animé Pixie, Dixie et Mr Jinks, où Pixie est une